Dans
le passé les sociétés qui existaient été des sociétés coopératives d’épargne et
de crédit, fondé par un bourgmestre prussien, elle avait pour but d’offrir des
services d’épargnes à la population pauvre exclue des banques traditionnelles.
L’épargne collecté permet d’accorder des crédits, mais ces institutions après
la guerre mondiale se sont focalisées sur l’épargne et ont offert peu de crédit,
pendant cette période et en Bengladesh précisément les conditions été catastrophique :
80% de la population vivait sous le seuil de la pauvreté, ainsi que l’existence
de la famine causé par les inondations. Le professeur Mohammed yunus qui été un
professeur en économie à l’université Chittagong avait remarqué que des femmes du village
produisait et vendait des produits et rarement réalisent des profits à cause du
remboursement du prêt avec des taux usures au préteurs intermédiaires, ce qui
été le point de départ de l’idée de la Grameen Bank qui été la première
intervention institutionnelle qui s’inscrit dans le cadre du de la microfinance
moderne, cet intervention prouva que les femmes qui n’avait pas l’accès au
système bancaire traditionnel pouvaient réaliser des bénéfices et rembourser
l’emprunt. Avec la réussite de la Grameen Bank grâce au taux de remboursement
qui avait atteint 99%, l’état décida d’élargir cet initiative partout dans le Bengladesh,
mais aussi offrir toute une gamme des services et produits et passé du microcrédit
a un concept plus large et plus développer : la microfinance ; qui
inspira plusieurs personne partout dans le monde à appliquer ce principe de microcrédit
dédié au pauvres, jusqu’à la fin de 2006 on compte plus que 100 million bénéficiaire
du microcrédit et le chiffre ne cesse d’augmenter
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