La microfinance est une branche de l’économie fondé par
Mohamed yunus prix Nobel de la paix, il avait comme but de rendre le crédit accessible
aux pauvres qui ne peuvent fournir de garanties demandés par les banques, les
institutions de microfinance accordent des crédits pour objectif d’investissement.
Cet activité s’est développé rapidement partout dans le monde puisqu’elle été
une solution alternative qui satisfait les besoins en matière de prêt, épargne,
et assurance pour la majorité de ceux qui n’ont pas d’accès au secteur
bancaire, avec l’émergence de la finance islamique cette dernière a pu réaliser
une croissance aussi importante que celle de la microfinance surtout puisqu’elle
essaye aussi de remédier aux problèmes dont souffre le système actuel et
instaure une éthique dans les transactions et le comportement des agents, c’est
pourquoi on peut commencer à croire que la combinaison des deux concept va renforcer
les eux à la fois en réduisant leurs limites et en améliorant leur efficacité
sachant que la microfinance n’est pas aussi parfaite qu’on peut le penser , après
l’échec au marché marocain suite à plusieurs problèmes, tel que l’utilisation
de ses microcrédits pour la consommation et non pas l’investissement et la
productivité, ainsi que les taux d’intérêt élevés ce qui a entrainé une
diminution du taux de remboursement ce qui constitue un problème majeur pour
les institutions de microfinance.
Le mixage entre la finance islamique et la microfinance peut
résoudre ces problèmes, on encourageant l’esprit d’entreprenariat et le
principe de partage de profit et perte. Autrement dit les agents seront amener à
utiliser la microfinance pour une finalité productive, afin d’atteindre un
niveau d’efficience des IMF qui garantit leur continuité et augmenter le taux
de remboursement des crédits accordés. Cela va offrir l’opportunité a une
partie des individus qui n’utilisent pas le système financier formel qui sont aux
alentours de 70% dans les pays majoritairement musulmans qui n’ont toujours pas
trouvé d’alternative au système bancaire
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